Sélène Volkova
Messages : 1 Date d'inscription : 14/02/2010
| Sujet: Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ] Dim 14 Fév - 18:41 | |
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Je suis simplement moi
. « Mon Caractère». . « Quand une personne ce fait agresser sexuellement durant sa jeunesse, la victime risque de réagir de deux façons très différentes. De un, être très réservé, ne jamais se laisser faire et de craindre les gars comme on craint les tueurs en série. Ou, de deux, ce qui est complètement le contraire, draguer les gars pour les posséder et les contrôler une fois qu’ils sont dans son lit, pour faire payer ce qu’ils ont fait à la personne alors que qu’elle était jeune et naïf et de s’assurer qu’au moment où ils sont le plus accrochés après elle, elle les jette dans l’océan comme des poissons pourries. Mais tous les deux sont des résultats d’une manque de confiance en soit et de surtout, un manque d’amour en elle-même.
Et voilà, moi, je suis numéro 2. Je n’aime pas m’accroché et surtout après ne pas avoir de sentiment pour un homme. Jeune, on a détruit son image et je crois que jamais un mec ne pourrait le restaurer. Mais, personne ne douterait de ce manque de confiance, car je suis forte et autoritaire, je dis au monde quoi faire et on m’obéit, c’est aussi simple que ça. Une personne avec autorité est une personne qui a confiance en soit ! Mais on serait surpris.
Je n’aime pas vraiment le monde qui se pense frais. Du genre qu’ils sont meilleurs que tout le monde et règne sur la population et blablabla et blablabla. Ça m’énerve et je ne suis pas capable de me tenir à côté de ses genres de personne aussi agaçant. C’est alors que je sens mon arrogance ressortir et je fais mon mieux pour ignorer, même si ça ne marche pas souvent. Reste que tout le monde n’a pas le choix de m’obéir, c’est moi qui applique les lois dans cette ville. »
« Ma vie n'a jamais été comme la leurs.» . . À cette heure, on ne se doutait plus de se qu’allait faire ses deux hommes en noir. Cambrioler une maison, kidnapper une personne pour de l’argent ou même, encore pire, tuer. Tout ce qu’li y avait de mal dans ce monde était normal pour ces citoyens qui se demandaient si à la fin du mois, ils auraient leur argent ou non. Mais personne aurait deviné le vrai but de ses étrangers costumés ou qu’est-ce qu’il y avait dans cette valise… Sauf ses deux hommes en question. Ils avaient une mission bien précise. Le progrès scientifique.
«Dès fois, je me demande comment ma mère aurait pu garder des jumelles pendant sa grosse, comment mon père aurait pu nous garder en vie lors qu'il frappait sa femme, et même qu’ils ont pu combler nos besoins lorsqu’on était bébé alors qu’ils n’ont jamais été capable quand j’étais enfant. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Je me pose mille et une questions sur le passé. Je sais, je sais, il faut ce concentrer sur notre futur et bla bla bla… Disons que ses discours, j’en ai eu assez de mes parents d’accueil et encore je n’arrête pas de les entendent lorsque je téléphone chez eux. Mais si seulement j’aurais eu le pouvoir de retourner dans le temps, j’arrêterais la noyade de ma seule et unique meilleur amie. Ma sœur jumelle. On partageait nos secrets, nos peines, nos peurs et bizarrement, nos joies. Car oui, on pouvait trouver, rarement, la joie dans nos vies. Bien qu’il fut rapidement effacée par la vue de ma mère ou part les cris de mon père. Un fou furieux marié à une droguée qui savent même plus pourquoi ils sont ensemble. La belle vie. Cependant, les petits moments passés avec elle, cette ange qui était venue me rajouter du soleil dans ma pénible existence, étaient comme un cadeau en enfer. Pratiquement impossible. Si ce n’était pas moi, c’était elle. Hélas, il ne connaissait pas le mot arrêt. Il continuait et continuait et continuait. Il ne nous battait pas, non, c’était encore pire, car au moins, la violence nous aurait laissé des marques et le monde l'aurai remarqué, mais le viol... C’est une toute autre histoire. Puis, c’est le moment où on se demande que fait la mère dans cette histoire ? C’est simple, elle se prostitue pour gagner de l’argent. Et qu’est-ce qu’elle fait avec cet argent? Elle s’achète de la drogue. Alors, pour moi et ma sœur, c’était impossible d’avoir une vie normale. Même que, qu’est-ce qu’on vivait, était pour nous, la normalité.
Cela ne faisait même pas une semaine que notre fête avait passée. Un gros 14 ans. Et comme à chaque année, on n’a pas eu de cadeau. Alors que ma sœur était partie prendre un bain pour être toute propre pour notre sortie. Je m’étais installée sur une chaise dans ma chambre pour me peigner les cheveux. Quelques secondes après avoir déposé ma brosse à cheveux sur mon bureau, mon père frappa violemment sur la porte, 3 coups pour être exacte, et me demanda en criant où était ma sœur. Je lui avais répondu qu’elle était dans la salle de bain… Mais aujourd’hui, je sais que je n’aurais pas du. De ses gros pattes d’ours, il marcha jusqu’à Angélique, qui, comme à son habitude, restait silencieuse en attendant la fin. Mais ce qui avait sorti de son habitude était le cri perçant qu’elle avait lâché avant de se faire plonger la tête sous l’eau. Mon cœur arrêta… Je souhaitais qu’il ne le fasse pas, qu’il la lâche et que tout soit fini. Oh mon dieu que je priais pour un miracle. Sauf que les miracles étaient rares, très rares même. Je me relevai d’un bond et courra vers la salle de bain. Hélas, j’arrivai quelques secondes trop tard. Son corps inerte gisait déjà comme un poisson mort dans l’eau. Mon père me jeta un coup d’œil d’avertissement avant de partir sans faire de bruit… Je ne pouvais pas y croire. Il m’avait enlevé la seule chose que j’aimais de la vie. Je m'accroupis près de la baignoire pour prendre le corps inanimé de ma sœur dans mes bras. C’était de ma faute, je le savais. C’est moi qui avais dit à cette bête où elle se trouvait. Tout était de ma faute ! La porte d’entrer claqua sans être suivit du petit bruit de système d’alarme ou de cadenas... Il avait oublié ! Quel miracle ! Contre mon gré, je laissai ma sœur couché sur le sol de la salle de bain et me dépêcha pour faire mes sacs. J’allais partir de cette merdique de maison de fou et m’en fuir. Alors que je finis de mettre mon dernier morceau de vêtement dans mon sac. Je pris le téléphone d’en bas qui n’était plus surveiller, - évidement, il était parti ce salaud ! -, et appela la police, laissant les coordonnées de la maison et le non du fautif. Il allait regretter la journée où il avait baisé avec ma mère. Et c’est la dernière fois que j’avais mis pieds dans cet endroit désastreux. De ce que j’ai entendu dans les nouvelles. La bête et la droguée avaient suivi plusieurs années en prison, même que mon père y est encore aujourd’hui, heureusement pour l’humanité !
Voilà 4 ans de cet incident. Je ne m’en étais toujours pas remises, car les cauchemars me hantaient. Finalement, je m’étais trouvée un petit appartement dans le centre ville. Ce n’était pas calme comme où j’habitais avec mes parents d’accueil, mais j’avais ma paix, du moins. J’étais devenue une vraie bête des boîtes de nuit et de surtout, les hommes. J’étais devenue expert eu matière du lit, - et non, ne jamais faire référence à ma mère, - et je savais comment faire jouir tous les hommes, mais je couchais seulement avec ceux qui étaient de mon gout bien sûr ! J’avais le choix et je voulais que le meilleur, le plus beau et le plus mature. Mon travaille de serveuse chez hooters me donnait beaucoup d’argent. J’étais devenue pratiquement riche si ce n’était pas pour le fait que je dépensais tout quand je magasinais. Sauf quelque chose me tracassait. Chaque fois que je donnais un ordre à quelqu’un, que ça soit ridicule ou sérieux, il le faisait, sans poser de question. On aurait dit qu’on m’obéissait. Cependant, le plus étrange, c’était produit en plein milieu de l’hiver. La température était en-dessous de 30°C et n’importe qui qui allait dehors sans manteau, gelait sur place. Mais moi, étant une vraie « dare devil », avait décidé d’aller dehors sans rien d’autre que mon petit short et mon chandail de hooters sur le dos. Lorsque que mes pieds touchèrent la neige, je m’attendais à devenir un glaçon… Mais rien, je ne ressentais même pas le froid. Le monde me regardait étrangement, car je ne frissonnais pas et mon poil sur mes bras n’était même pas relever. On me força de rentrer à l’intérieur, par peur que j’attrape un rhume, mais je n’avais rien attrapé. Quelques journées plus tard, on frappa à ma porte demandant de rentrer immédiatement. Mi-réveiller, mi-endormie, j’ouvris la porte avec une face de bœuf en leur demandant ce qu’ils faisaient là à cette heure de la soirée.
« Je vous pris de nous suivre, mademoiselle. »
« Mais, pourtant, je n’ai rien fait de mal ! »
« C’est vrai, mais vous avez des pouvoirs, non ? »
On aurait dit que le temps avait arrêté, car le silence régnait et personne n’osait bouger.
« Comment pouvez-vous savoir ça alors que je l’ai dit à personne ? Vous m’espionnez ? »
Soupirant bruyamment, un d’eux s’avança vers moi, me regardant profondément dans les yeux, comme s’il scrutait mon âme. Je résistai à l’envie de lui cracher dans la face et de fermer la porte. Je hais quand le monde s’approche de moi de cette manière et surtout quand c’est un homme que je ne connais pas!
« Vous n’êtes pas toute seule. À Valencia, les citoyens sont que des êtres humains avec des pouvoirs. »
« Personnellement, je pense que vous avez pris une substance illicite ou quelque chose dans ce genre. Car croyez moi, je n’ai jamais entendu parler d’une telle ville, si elle existe. Et je ne suis surtout pas une comédienne qui se cherche un rôle dans un film. Alors, foutez-moi la paix ! »
Je poussai sur ma porte d’entré pour la refermer, mais je me suis rendu compte bien vite qu’ils n’étaient pas question qu’ils me laissent seule. Le pied de l’étranger en noir se posa contre le mur et la porte, laissant une espace pour qu’il puisse rentrer dans l’appartement.
« La seule façon de découvrir réellement qui vous êtes, c’est en nous suivant… »
Il ne prit pas la peine de finir sa phrase et me prit par le bras pour me traîner vers la sorti… Je n’avais plus vraiment le choix, je devais le suivre. Et c’était peut-être la meilleure chose qui m’est arrivé depuis mes années d’enfance avec Angélique. »
« Je suis différent.» . . Malheureusement, ses pouvoirs ne s'étaient développés que deux ans après qu'elle aille quitter son nid familial. Qui sait quelle horreur elle aurait fait vivre à cette bête à deux pattes. Peut-être qu'elle l'aurait forcé avec son don de contrôle mental à se rentrer lui-même le poignard dans le coeur. Ou de s'étrangler, ou de se lancer en bas d'un pont dans l'eau en plein hiver ou encore là, d'aller se mettre devant un quatorze roue et d'attendre sa mort... Hélas, elle n'allait pas se baisser à son niveau, elle aurait pu tout simplement retourner chez lui et aller faire toutes ses monstruosités, comme qu'il lui avait fait vivre, mais sa mère d'accueil lui avait montré qu'on ne gagnait rien avec la vengeance.
Son pouvoir de résister aux températures froides fait que l'hiver lui coute aussi chère que l'été. Les minis shorts qu'on porte à l'entour de la plage à 30°C lui vont toute aussi bien l'hiver lorsqu'elle marche nu-pied dans le parc bombé de 20 cm de neige... Hélas, il a un maximum, en bas de -40°C, elle commence à ressentir le froid. Et lorsqu'elle reste trop longtemps dans dehors en hiver, sans être habillée correctement, c'est à ce moment qu'elle attrape les grippes violentes qui risquent de la mettre dans le lit pour longtemps. Oui, elle est immunisée à la sensation du froid, mais pas aux maladies.
Son troisième ne c'était développé que lorsqu'elle mit pieds à Valencia, car dans le passé, elle n'avait jamais parlé à un autre de son genre, du moins, de ce qu'elle sait... Seulement au moment où elle touche une personne avec un pouvoir, qu'elle peut avoir le même pouvoir. Malheureusement, elle ne peut pas seulement penser à cette personne pour lui emprunter son don. Il faut obligatoirement qu'elle soit en contact avec lui ou elle. Mais jamais aujourd'hui n'avait-elle eu un vrai besoin de l'utiliser, car c'est souvent calme à Valencia.
Et toi derrière ton écran
. Prénom, Surnom ; Kiki ^^ halia Age ; 16 ans... Comment as tu connu le forum ; Graphic Obsession Présence sur le forum ; 3-4 /7 ( vive l'école ¬¬ ) Code du règlement ; Qui gagnera cette guerre ? exemple de rp ;- Spoiler:
Asidérien Tamper… Non, ça ne lui disait rien. Elle ignorait complètement c’était qui et d’où il venait… À moins que ça soit le même qui était à Poudlard, ce serpentard qui se pensait meilleur que les autres. Ah bon, ce n’était pas très grave, même qu’elle s’en foutait un peu. L’odeur que semblait dégager cet étranger n’arrêtait pas d’agacer sa faim de plus en plus grandissante. C’était comme si son petit démon sur son épaule gauche lui disait de le bouffer tout cru alors que son ange( un peu démoniaque ) lui proposait d’y aller avec un peu de délicatesse, de donné à cette perfection quelques minutes encore de vie mortel. Elle se mit d’accord avec son ange et opta pour la résistance. Peut-être, elle pourrait s’amuser avec, avoir un peu de plaisir, et non nécessairement sexuelle, mais bien mental. * Ou peut-être sexuel si l’opportunité se présente * Bien que ses yeux étaient baissés, observant le plancher en bois, elle ne put retenir le petit sourire coquin qui se dessinait sur son visage au teint foncé. Lentement, son regard brun-vert c’était planté dans celui d’Asidérien, cherchant quelque chose qui pourrait l’aidé à reconnaître cette beauté, même si le nom lui donnait une idée de son identité, elle n’était toujours pas certaine, car l’erreur existe, même pour des êtres immortels tels qu’elle. En plus qu’elle était encore jeune, Katrina avait beaucoup à apprendre. Mais elle avait toute sa vie, même encore plus. Quoi de plus à demander !
« Katrina Cokukaine . »
Répondit-elle, gardant cet accent agissant. Mais elle ne voulait pas se faire reconnaître. C’était ridicule, ça, elle le savait. Mais elle avait peur de ce qui pourrait lui arriver. Et si c’était un auror, ce ex-serpentard, il pourrait très bien la lancer à Azkaban pour avoir tué et la condamnée à mort, ou pire, qu’elle vit toute sa vie là, enfermer… Elle était immortelle, alors elle vivrait pour toujours dans cette cage, souffrant de plus en plus de soif... L’immortalité, quelque chose qu’elle ne c’était pas aperçut de lorsqu’elle s’était faîtes transformer, voilà quelques années. Cependant, aujourd’hui, elle jouit du fait qu’elle a une éternité à vivre. Oui, elle n’est pas la plus puissante sorcière au monde, ça, elle le savait, mais, avec le temps, quelque chose qu’elle avait en sa possession, elle pourrait agrandir son talent à être une superpuissance. Elle bavait juste à penser à ce magnifique pouvoir. Le monde, enfin, l’accepterait. Même, s’agenouillerait en son honneur. Bon, peut-être pas tellement, mais elle avait le droit de rêver ! Parce que, si personne ne rêvait d’un futur meilleur, le monde n’essaierait jamais de s’améliorer, alors on serait toujours dans le temps des cavernes. Petit philosophie du moment.
La vois mélodieuse de l’étranger la ramena à la réalité. Elle n’avait pas remarqué en premier lieu, les canins qui se formaient, mais après plusieurs secondes d’observation et un pas pour s’approcher pour mieux voir, elle comprit qu’elle ne parlait pas à un homme ordinaire. Mais pourtant, l’odeur du sang humain régnait sur cet être qu’il ne pouvait pas être un vampire comme elle. À moins que… Enfin, les morceaux du casse-tête commencèrent à ce replacé tranquillement. Il avait rumeur dans les membres des mangemorts qu’il avait, parmi eux, un homme qui avait le don de se métamorphoser, un talent qu’il savait bien comment s’en utiliser. Mais était-ce lui ? Pourtant, il correspondait parfaitement à la description qu’elle avait entendue. Mais ce qui ne clochait pas, c’était la raison pourquoi il lui montrait cette « allusion ». Voulait-il devenir vampire ? Vraiment ? Savait-il au moins ce que ça impliquait ? Elle se rappelait toujours de sa transformation. 2 semaines dans un lit d’infirmerie et ensuite, elle c’était enfui de cette école qu’elle aimait tant pour pouvoir ce caché à Londres, loin de la réalité humaine. Et puis, il avait déjà un don, cet homme là. Il n’en avait pas besoin d’un deuxième, ça non!
Gracieusement, elle plaça sa main sur la joue d’Asidérien, frottant la peau fraîche et chaleureuse avec ses doigts. Peut-être que ce n’était pas une bonne idée. Elle le voulait plus que jamais, c’était comme si elle pouvait ressentir le sang coulé dans ses veines. * Non, retient toi. Plus tard. * Son regard plongé dans celle du mangemort, elle releva la même main avant de lui lancer une gifle en pleine face. Voilà ce qu’il méritait. Quelque chose pour le réveiller. Car avec une telle requête, elle doute qu’il soit complètement conscient de ce qu’il faisait. Et elle qui pensait que la plupart de son clan était intelligent. Cet homme lui prouvait tout le contraire.
« Tu es complètement fou ou quoi ? Tu ne sais pas c’est quoi être de ma race ! Et tu sais sans doute pas ça prend combien de temps avant même d’être capable de poser tes pieds sur le sol ferme après d’être mordu ? As-tu déjà pensé à tout ce que ça impliquait ? »
Elle s’éloigna d’un pas tout en disant cela, laissant tomber son accent africain. Elle n’avait aucune intention de lui donner ce qu’il voulait à moins qu’il lui explique ses intentions ! Même là, elle doute. Mais encore, cette odeur venait l’étrangler et la harcelée. Une chose était sûre, elle devait fuir bien tôt, si elle ne voulait pas dévorer toute la population présente. Ses yeux se fermèrent instinctivement pendant qu’elle savourait se délire intense. Jamais n’avait-il eu autant d’humain comme ça dans un endroit au paravent, du moins, pas depuis qu’elle était vampire.
« Je ne crois pas que ça serait une bonne idée. Je ne veux pas rivaliser pour ma proie avec toi. Il n’a pas assez de sang de cette ville pour un autre. »
Et non, il n’en avait pas assez. Elle était trop gourmande pour partager. Ce n’était pas sa nature vampirisme qui la rendait de cette façon, mais bien qu’elle a toujours été très gloutonne et égoïste. C’est ce qui arrive quand tu es enfant unique, même si on ne s’en rend pas compte tout le temps. - Citation :
- Règles lues et respectées
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