Valencia
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Valencia

u-c
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €

 

 Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ]

Aller en bas 
AuteurMessage
Sélène Volkova

Sélène Volkova


Messages : 1
Date d'inscription : 14/02/2010

Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ] Empty
MessageSujet: Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ]   Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ] EmptyDim 14 Fév - 18:41

Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ] Untitled-7copy
© Halia


    Volkova
    Sélène

    .

    Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ] Untitled-5copy-1 Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ] Untitled-6copy-1
    Je suis Surveillante
    Âge ; 20 ans
    Naissance ; 11.06.1989
    Orientation Sexuelle ; Hétéro
    Statut social ; célibataire
    Star sur l'avatar ; Kristin Kreuk





Je suis simplement
moi

.




« Mon Caractère»
.
.

    « Quand une personne ce fait agresser sexuellement durant sa jeunesse, la victime risque de réagir de deux façons très différentes. De un, être très réservé, ne jamais se laisser faire et de craindre les gars comme on craint les tueurs en série. Ou, de deux, ce qui est complètement le contraire, draguer les gars pour les posséder et les contrôler une fois qu’ils sont dans son lit, pour faire payer ce qu’ils ont fait à la personne alors que qu’elle était jeune et naïf et de s’assurer qu’au moment où ils sont le plus accrochés après elle, elle les jette dans l’océan comme des poissons pourries. Mais tous les deux sont des résultats d’une manque de confiance en soit et de surtout, un manque d’amour en elle-même.

    Et voilà, moi, je suis numéro 2. Je n’aime pas m’accroché et surtout après ne pas avoir de sentiment pour un homme. Jeune, on a détruit son image et je crois que jamais un mec ne pourrait le restaurer. Mais, personne ne douterait de ce manque de confiance, car je suis forte et autoritaire, je dis au monde quoi faire et on m’obéit, c’est aussi simple que ça. Une personne avec autorité est une personne qui a confiance en soit ! Mais on serait surpris.

    Je n’aime pas vraiment le monde qui se pense frais. Du genre qu’ils sont meilleurs que tout le monde et règne sur la population et blablabla et blablabla. Ça m’énerve et je ne suis pas capable de me tenir à côté de ses genres de personne aussi agaçant. C’est alors que je sens mon arrogance ressortir et je fais mon mieux pour ignorer, même si ça ne marche pas souvent. Reste que tout le monde n’a pas le choix de m’obéir, c’est moi qui applique les lois dans cette ville.
    »


« Ma vie n'a jamais été comme la leurs.»
.
.

    À cette heure, on ne se doutait plus de se qu’allait faire ses deux hommes en noir. Cambrioler une maison, kidnapper une personne pour de l’argent ou même, encore pire, tuer. Tout ce qu’li y avait de mal dans ce monde était normal pour ces citoyens qui se demandaient si à la fin du mois, ils auraient leur argent ou non. Mais personne aurait deviné le vrai but de ses étrangers costumés ou qu’est-ce qu’il y avait dans cette valise… Sauf ses deux hommes en question. Ils avaient une mission bien précise. Le progrès scientifique.

    «Dès fois, je me demande comment ma mère aurait pu garder des jumelles pendant sa grosse, comment mon père aurait pu nous garder en vie lors qu'il frappait sa femme, et même qu’ils ont pu combler nos besoins lorsqu’on était bébé alors qu’ils n’ont jamais été capable quand j’étais enfant. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Je me pose mille et une questions sur le passé. Je sais, je sais, il faut ce concentrer sur notre futur et bla bla bla… Disons que ses discours, j’en ai eu assez de mes parents d’accueil et encore je n’arrête pas de les entendent lorsque je téléphone chez eux. Mais si seulement j’aurais eu le pouvoir de retourner dans le temps, j’arrêterais la noyade de ma seule et unique meilleur amie. Ma sœur jumelle. On partageait nos secrets, nos peines, nos peurs et bizarrement, nos joies. Car oui, on pouvait trouver, rarement, la joie dans nos vies. Bien qu’il fut rapidement effacée par la vue de ma mère ou part les cris de mon père. Un fou furieux marié à une droguée qui savent même plus pourquoi ils sont ensemble. La belle vie. Cependant, les petits moments passés avec elle, cette ange qui était venue me rajouter du soleil dans ma pénible existence, étaient comme un cadeau en enfer. Pratiquement impossible. Si ce n’était pas moi, c’était elle. Hélas, il ne connaissait pas le mot arrêt. Il continuait et continuait et continuait. Il ne nous battait pas, non, c’était encore pire, car au moins, la violence nous aurait laissé des marques et le monde l'aurai remarqué, mais le viol... C’est une toute autre histoire. Puis, c’est le moment où on se demande que fait la mère dans cette histoire ? C’est simple, elle se prostitue pour gagner de l’argent. Et qu’est-ce qu’elle fait avec cet argent? Elle s’achète de la drogue. Alors, pour moi et ma sœur, c’était impossible d’avoir une vie normale. Même que, qu’est-ce qu’on vivait, était pour nous, la normalité.

    Cela ne faisait même pas une semaine que notre fête avait passée. Un gros 14 ans. Et comme à chaque année, on n’a pas eu de cadeau. Alors que ma sœur était partie prendre un bain pour être toute propre pour notre sortie. Je m’étais installée sur une chaise dans ma chambre pour me peigner les cheveux. Quelques secondes après avoir déposé ma brosse à cheveux sur mon bureau, mon père frappa violemment sur la porte, 3 coups pour être exacte, et me demanda en criant où était ma sœur. Je lui avais répondu qu’elle était dans la salle de bain… Mais aujourd’hui, je sais que je n’aurais pas du. De ses gros pattes d’ours, il marcha jusqu’à Angélique, qui, comme à son habitude, restait silencieuse en attendant la fin. Mais ce qui avait sorti de son habitude était le cri perçant qu’elle avait lâché avant de se faire plonger la tête sous l’eau. Mon cœur arrêta… Je souhaitais qu’il ne le fasse pas, qu’il la lâche et que tout soit fini. Oh mon dieu que je priais pour un miracle. Sauf que les miracles étaient rares, très rares même. Je me relevai d’un bond et courra vers la salle de bain. Hélas, j’arrivai quelques secondes trop tard. Son corps inerte gisait déjà comme un poisson mort dans l’eau. Mon père me jeta un coup d’œil d’avertissement avant de partir sans faire de bruit… Je ne pouvais pas y croire. Il m’avait enlevé la seule chose que j’aimais de la vie. Je m'accroupis près de la baignoire pour prendre le corps inanimé de ma sœur dans mes bras. C’était de ma faute, je le savais. C’est moi qui avais dit à cette bête où elle se trouvait. Tout était de ma faute ! La porte d’entrer claqua sans être suivit du petit bruit de système d’alarme ou de cadenas... Il avait oublié ! Quel miracle ! Contre mon gré, je laissai ma sœur couché sur le sol de la salle de bain et me dépêcha pour faire mes sacs. J’allais partir de cette merdique de maison de fou et m’en fuir. Alors que je finis de mettre mon dernier morceau de vêtement dans mon sac. Je pris le téléphone d’en bas qui n’était plus surveiller, - évidement, il était parti ce salaud ! -, et appela la police, laissant les coordonnées de la maison et le non du fautif. Il allait regretter la journée où il avait baisé avec ma mère. Et c’est la dernière fois que j’avais mis pieds dans cet endroit désastreux. De ce que j’ai entendu dans les nouvelles. La bête et la droguée avaient suivi plusieurs années en prison, même que mon père y est encore aujourd’hui, heureusement pour l’humanité !

    Voilà 4 ans de cet incident. Je ne m’en étais toujours pas remises, car les cauchemars me hantaient. Finalement, je m’étais trouvée un petit appartement dans le centre ville. Ce n’était pas calme comme où j’habitais avec mes parents d’accueil, mais j’avais ma paix, du moins. J’étais devenue une vraie bête des boîtes de nuit et de surtout, les hommes. J’étais devenue expert eu matière du lit, - et non, ne jamais faire référence à ma mère, - et je savais comment faire jouir tous les hommes, mais je couchais seulement avec ceux qui étaient de mon gout bien sûr ! J’avais le choix et je voulais que le meilleur, le plus beau et le plus mature. Mon travaille de serveuse chez hooters me donnait beaucoup d’argent. J’étais devenue pratiquement riche si ce n’était pas pour le fait que je dépensais tout quand je magasinais. Sauf quelque chose me tracassait. Chaque fois que je donnais un ordre à quelqu’un, que ça soit ridicule ou sérieux, il le faisait, sans poser de question. On aurait dit qu’on m’obéissait. Cependant, le plus étrange, c’était produit en plein milieu de l’hiver. La température était en-dessous de 30°C et n’importe qui qui allait dehors sans manteau, gelait sur place. Mais moi, étant une vraie « dare devil », avait décidé d’aller dehors sans rien d’autre que mon petit short et mon chandail de hooters sur le dos. Lorsque que mes pieds touchèrent la neige, je m’attendais à devenir un glaçon… Mais rien, je ne ressentais même pas le froid. Le monde me regardait étrangement, car je ne frissonnais pas et mon poil sur mes bras n’était même pas relever. On me força de rentrer à l’intérieur, par peur que j’attrape un rhume, mais je n’avais rien attrapé. Quelques journées plus tard, on frappa à ma porte demandant de rentrer immédiatement. Mi-réveiller, mi-endormie, j’ouvris la porte avec une face de bœuf en leur demandant ce qu’ils faisaient là à cette heure de la soirée.

    « Je vous pris de nous suivre, mademoiselle. »

    « Mais, pourtant, je n’ai rien fait de mal ! »

    « C’est vrai, mais vous avez des pouvoirs, non ? »

    On aurait dit que le temps avait arrêté, car le silence régnait et personne n’osait bouger.

    « Comment pouvez-vous savoir ça alors que je l’ai dit à personne ? Vous m’espionnez ? »

    Soupirant bruyamment, un d’eux s’avança vers moi, me regardant profondément dans les yeux, comme s’il scrutait mon âme. Je résistai à l’envie de lui cracher dans la face et de fermer la porte. Je hais quand le monde s’approche de moi de cette manière et surtout quand c’est un homme que je ne connais pas!

    « Vous n’êtes pas toute seule. À Valencia, les citoyens sont que des êtres humains avec des pouvoirs. »

    « Personnellement, je pense que vous avez pris une substance illicite ou quelque chose dans ce genre. Car croyez moi, je n’ai jamais entendu parler d’une telle ville, si elle existe. Et je ne suis surtout pas une comédienne qui se cherche un rôle dans un film. Alors, foutez-moi la paix ! »

    Je poussai sur ma porte d’entré pour la refermer, mais je me suis rendu compte bien vite qu’ils n’étaient pas question qu’ils me laissent seule. Le pied de l’étranger en noir se posa contre le mur et la porte, laissant une espace pour qu’il puisse rentrer dans l’appartement.

    « La seule façon de découvrir réellement qui vous êtes, c’est en nous suivant… »

    Il ne prit pas la peine de finir sa phrase et me prit par le bras pour me traîner vers la sorti… Je n’avais plus vraiment le choix, je devais le suivre. Et c’était peut-être la meilleure chose qui m’est arrivé depuis mes années d’enfance avec Angélique.
    »


« Je suis différent.»
.
.

    Malheureusement, ses pouvoirs ne s'étaient développés que deux ans après qu'elle aille quitter son nid familial. Qui sait quelle horreur elle aurait fait vivre à cette bête à deux pattes. Peut-être qu'elle l'aurait forcé avec son don de contrôle mental à se rentrer lui-même le poignard dans le coeur. Ou de s'étrangler, ou de se lancer en bas d'un pont dans l'eau en plein hiver ou encore là, d'aller se mettre devant un quatorze roue et d'attendre sa mort... Hélas, elle n'allait pas se baisser à son niveau, elle aurait pu tout simplement retourner chez lui et aller faire toutes ses monstruosités, comme qu'il lui avait fait vivre, mais sa mère d'accueil lui avait montré qu'on ne gagnait rien avec la vengeance.

    Son pouvoir de résister aux températures froides fait que l'hiver lui coute aussi chère que l'été. Les minis shorts qu'on porte à l'entour de la plage à 30°C lui vont toute aussi bien l'hiver lorsqu'elle marche nu-pied dans le parc bombé de 20 cm de neige... Hélas, il a un maximum, en bas de -40°C, elle commence à ressentir le froid. Et lorsqu'elle reste trop longtemps dans dehors en hiver, sans être habillée correctement, c'est à ce moment qu'elle attrape les grippes violentes qui risquent de la mettre dans le lit pour longtemps. Oui, elle est immunisée à la sensation du froid, mais pas aux maladies.


    Son troisième ne c'était développé que lorsqu'elle mit pieds à Valencia, car dans le passé, elle n'avait jamais parlé à un autre de son genre, du moins, de ce qu'elle sait... Seulement au moment où elle touche une personne avec un pouvoir, qu'elle peut avoir le même pouvoir. Malheureusement, elle ne peut pas seulement penser à cette personne pour lui emprunter son don. Il faut obligatoirement qu'elle soit en contact avec lui ou elle. Mais jamais aujourd'hui n'avait-elle eu un vrai besoin de l'utiliser, car c'est souvent calme à Valencia.








Et toi
derrière ton écran

.


Prénom, Surnom ; Kiki ^^ halia
Age ; 16 ans...
Comment as tu connu le forum ; Graphic Obsession Smile
Présence sur le forum ; 3-4 /7 ( vive l'école ¬¬ )
Code du règlement ; Qui gagnera cette guerre ?
exemple de rp ;
Spoiler:

Citation :
Règles lues et respectées
Revenir en haut Aller en bas
 
Sélène Volkova... *Les cauchemars ne partent jamais [ Construction zone ]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Valencia :: ..:Ou tout commence:.. :: ▬Carte d'identité-
Sauter vers: